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Moi Par Mois

12 avril 2008 6 12 /04 /avril /2008 12:34

Oh putain j'en ai ma-are
De ce fuckin' yellow's world !!!*
Il n'ya plus de hasa-ard
Dans ce fuckin' yellow's world !!!*
Les bons deviennent conna-ards
Dans ce fuckin' yellow's world !!!*
Connaitrai-je mon dépa-art
De ce fuckin' yellow's world ???*


Puis le matin je me relève tranquillement
Je prends un pain au chocolat avec mes dents
Puis le matin je me rendors paisiblement
Comme si le temps n'était plus autant agaçant.


Oh putain quel cafa-ard
Que ce fuckin' yellow's world !!!*
Tout ici est blafa-ard
Dans ce fuckin' yellow's world !!!*
Ce n'est qu'un cauchema-ar
Que ce fuckin' yellow's world !!!*
Ce n'est qu'un monde biza-arre
Que ce fuckin' yellow's world !!!*


Puis le matin je me relève tranquillement
Je prends un chocolat-croissant avec mes dents
Puis le matin je me rendors paisiblement
Comme si le temps n'était plus autant fatiguant.


Oh putain plus d'histoi-are
Dans ce fuckin' yellow's world !!!*
Plus de rêve illusoi-are
De ce fuckin' yellow's world !!!*
Ya rien de plus barba-are
Que ce fuckin' yellow's world !!!*
On veut des steaks tarta-ares
Dans ce fuckin' yellow's world !!!*


Puis le matin je me relève tranquillement
Je prends un bol de céréales avec mes dents
Puis le matin je me rendors paisiblement
Comme si le temps n'était plus autant impatient.


Oh putain pas plus noi-ar
Que ce fuckin' yellow's world !!!*
Ne survit plus Baba-ar
Dans ce fuckin' yellow's world !!!*
On aime les malaba-ars
Dans ce fuckin' yellow's world !!!*
Pas plus jaunes les cana-ards
Que ce fuckin' yellow's world !!!*


Puis le matin je me relève tranquillement
Je bois un verre de jus d'orange avec mes gants
Puis le matin je me rendors paisiblement
Comme si le temps n'était plus autant surprenant.
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11 avril 2008 5 11 /04 /avril /2008 20:57

[Je me pose, me repose
Mon esprit est léger
Quelque chose est en pause
Sûr'ment moi, l'énervé
Mais la prose à grosse dose
Commence à m'ennuyer
Je dépose comme des roses
Quelques vers à vos pieds.
]

Monotonie des mots démodés, démunis
De cette poésie, de cette mélodie passée.
Je le dis, je le sais, personne ne s'en soucie
Je le vis, il nous tait, le temps est un danger.
Les vrais artistes quittent la piste, si peu de public.
Certains ne survivent pas, dérivent et d'eux nous privent
Un ou deux restants dans ma liste, voilà le hic
Mais qui m'inspirera demain pour que j'écrive ?
A la rechercher d'une perche, d'une imagination
On me répond simplement "Le désir est vin"
Est-ce utile de se détruire pour une construction ?
On me répond "bois donc et tu le verras bien"
Moi je vois les alcooliques et ceux qui se piquent
Qui ont du talent mais le gachent de cette façon
Et les autres, ceux qui ne savent que faire des critiques
Il haïssent la police sans savoir qui ils sont.
Où est la nouveauté dans leurs textes formatés ?
Le rap dérape, attrape un billet pour la trappe
Le rock, en cloque, se croit "choque" en étant raté
Devenu commercial, c'est une histoire de sappes.
Les chanteurs sont devenus vendeurs, arnaqueurs
Bataille sur le ring du marketing, packaging,
Et parfois même pour faire plaisir à l'acheteur,
Les clips ne sont que grosses voitures et femmes en string.


[Refrain]

Tout a en effet été fait, défait, refait
Ce que j'écris maintenant, on l'a dit avant
En fait, seuls les effets changent car un peu plus frais
Le temps passe et les sons ne sont plus ceux d'antan.
Nouveaux styles, nouveaux deals mais quelque peu puérils
A la recherche de la nouvelle Starac', je claque
Machines pour créer des pseudo-artistes, débile
Dacodac, commençons la traque aux têtes à claques.
Le pire n'est pas qu'elles existent mais qu'elles restent, c'est triste
A croire que la population n'aime que le con
Car ces émissions auraient dû quitter la piste
Depuis leur création, mais non, nous regardons !
L'amour, la haine, la mort, la peine, dans tous les textes
Je ne déroge pas à la règle ce qui me gêne
Les écrits vains d'écrivains devant mon index
Je les critique mais m'oubliant, c'est chose non saine.
Le beau temps était celui d'avant, le passé
A cette époque, il y avait peu de paroles.
Depuis, nous nous efforçons à tout recopier
Comme des cancres à un contrôle, cela me désole.
Sont-ce mes mots qui éjecteront mes maux des ronces ?
Je le pense, thérapie des textes dans ce monde brut
Car c'est une chance immense de pouvoir écrire, fonce
A l'aide de tes écrits, une nouvelle vie débute.


[Refrain]



[Bien que le titre soit "anticonformisme", c'est paradoxale du fait que je suive un certain nombre de pieds, que je fasse des rimes croisées ... mais mon message lui, appelle à l'anticonformisme ... marre des pseudos-artistes plus commerciaux tu meurs ... PS : Merci Ben pour "Le désir est vin" xD]
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5 avril 2008 6 05 /04 /avril /2008 21:22

Les yeux fermés et la tête sur la table
J'm'endors doucement, c'n'est pas confortable
J'ai reçu une note, c'n'est pas c'qui m'accable
C'est d'être en philo. Et un cours minable !!!*
Une main inutile et l'autre qui écrit
La prof est devant, maintenant elle crie
La philosophie : on dort ou on rit
Certains me disent même : "Nous on réfléchit"
Nous devons penser avec les pensées
De Philosophes passés voire dépassés
De tout cela nous en avons assez
Et dès que l'heure passe, tout est effacé
4 heures par semaine, c'est déjà de trop
Oui mais trop de philo tue la philo
Alors pour qu'elle meurt, je f'rai mon boulot
Car je peux être sérieux quand il le faut
Spinoza le lover, Descartes le chieur
Nous pourrissent quelques heures de bon coeur
A cette matière, je n'ferai pas de fleurs
Elle a l'don de m'mettre de mauvaise humeur.


La Philosophie me sert même la nuit
Je dors sans soucis lorsque j'la relis
Mais le vrai défi, c'est d'combattre l'ennui
Dans un cours précis ... la Philosophie !!!*


Je pense donc je suis un être pensif
Mais elle n'est pas contente quand j'suis pas vif
A la fin d'un cours, faut qu'on nous débrief'
"Votre troisième trimestre sera décisif !"
Alerte ! Le bac à la fin de l'année !
Et merde, je suis obligé de bosser
L'année dernière, c'était pour l'SVT
Mais maintenant, il faut philosopher ...
La méthodo et les auteurs appris,
C'est sûr que nous n'avons aucun répit
Pour décoller de 8 j'ai des soucis
"Madame mettez moi 9, je vous en prie"
Quand on conteste ses idées, attention
Car apparition de quelques tensions :
"N'oublie pas que tu es jeune mon garçon"
"De mourir maintenant ce serait con"
Alors on se soumet comme des enfants
On écoute ce cours un rien fatiguant
Au niveau de nos notes : aucun chang'ment
Ya pas à dire : le bac sera marrant !!!*

La Philosophie me sert même la nuit
Je dors sans soucis lorsque j'la relis
Mais le vrai défi, c'est d'combattre l'ennui
Dans un cours précis ... la Philosophie !!!*

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24 mars 2008 1 24 /03 /mars /2008 18:50

Ce matin, en me levant, j'ai changé le décevant
Plus rien n'était comme avant, ni la pluie ni même le vent
Les gens étaient moins méchants, les parents, même les enfants
Les soldats moins menaçants et le sang plus effrayant.
L'atmosphère et l'hémisphère, nous en étions tous très fier
La Terre n'était plus l'enfer, la guerre n'était plus à faire
Les gaz à effet de serre étaient enfouis sous la mer
Nous étions tous soeurs et frères et bien que nos gênes diffèrent.
Les journées très occupées, on ne peut donc travailler
On enchaine fêtes sur soirées, on dort une fois fatigué
Tout semble d'une simplicité qu'on en est déconcerté
Le bonheur nous est inné, il suffit de le trouver
De belles femmes comme des mirages nous transforment en gars moins sages
Tout le monde tourne bien la page, la joie sur tous les visages
Plus de chômage, plus de rage, à contre-courant on nage
Plus personne ne sait son âge, on prépare nos sarcophages
Les sentiments, l'avenir sont connus sans réfléchir
Le futur nous semble moins pire que le passé de nos sbires
Pas besoin d'écrire, lire, dire qu'il nous suffit de sourire
Pour que perdure le plaisir dans les journées à venir



C'était un monde de paix, vrai et où tout allait
.....
Mon esprit gronde, me tait, parle et réouvre ma plaie
.....
C'était un monde jolie, c'était une utopie
.....
Mon esprit gronde, détruit mes "oui" en "non", tant pis



Le retour à la normale me rend pâle et me fait mal
L'Homme devenu animal, les coutumes devenues sales
Nous sommes à la quête du Graal, après enquêtes, ya quedal
On atteint notre idéal qu'à la suite de grands dédales
Les femmes ayant une bonne âme, on les ignore, c'est le drame
Elles ne peuvent être que nos SAM, quand on est bourré, infâme
L'individualisme nous crâme nos pensées dans de grandes flammes
Personne n'ose ne mettre un blame sur l'humain à mon grand dam
Seule la nuit nous fait rêver à la douceur du passé,
Aux fleurs qui parfument l'été de toutes nos plus jeunes années
Désormais, c'est modifié, les odeurs synthétisées
Le temps réglé, programmé, l'aléa est supprimé
Tout semble déjà pré-écrit, comment sont nos fins de vie
Nos folies, nos cris, nos bruits, nos envies d'être loin d'ici
Dieu ou non, tout était dit, "tu seras grand ... ou petit"
Résultat : peu de dandys et beaucoup trop de bandits
Mes songes sont comme de la sève, nourrissant mes feuilles, mes lèvres
D'une encre et de phrases non brèves qui abreuvent mon corps d'une trève
Si jamais demain je crève, ma tête bien haut je la lève
Pour tenter de faire un rêve avant que ma vie n's'achève



C'était un monde de paix, vrai et où tout allait
.....
Mon esprit gronde, me tait, parle et réouvre ma plaie
.....
C'était un monde jolie, c'était une utopie
.....
Mon esprit gronde, détruit mes "oui" en "non", tant pis



Je croise les bras de Morphée puis dans mes doigts, 2, 3 fées
Je peux encore formuler mes souhaits d'une autre société
Un dé, du blé, c'est gagné, pas besoin de batailler
L'amitié est sublimée, l'amour, lui, est pardonné
Lors des bons rassemblements, que tout le monde est content
Qu'on s'amuse avec d'autres gens, le temps prend enfin son temps
Puis quand on s'ennuie vraiment, même si ça n'est pas souvent,
Se faufilent rapidement les heures ou bien les instants
Modulable selon nos voeux, quand on veut et bien on peut
Il n'y a pas un seul Dieu, on croit en nous, c'est bien mieux
Le respect des jeunes aux "vieux" est un acte normal pour eux
Tout le monde ici est preux, intégrés sont les lépreux
Racisme et intolérance ne survivent plus quand on pense
C'est un peu comme en vacances, n'existe plus le mot souffrance
On se trouve peut être en France ou bien ailleurs en errance
Est l'égalité des chances, aujourd'hui prédominance.
La journée est terminée et mon rêve s'est effondré
Je ferme les yeux, dégoutté par la triste réalité
Ne pouvons-nous donc rêver d'avoir un jour ces idées
Devant nos corps fatigués toutes enfin réalisées ?

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15 mars 2008 6 15 /03 /mars /2008 14:37


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DCFC0001.JPG_____________________________________



Le ciel pleure, lentement
Remplissant les ruisseaux
Pousse une fleur, preuve du temps
De l'avant pour bientôt

Un humain trop normal
Tient le mal dans ses mains
Dès demain l'Homme banal
Rendra pâle le monde sain


Il se lève lentement
Prend son temps puis achève
Bien les rêves des enfants
Il est grand, faut qu'ça crève

Le goudron apparait
Disparait les bourgeons
L'Homme est bon il parait
Je dirais qu'il est con

La nature dort encore
Car sont morts ses acteurs
Bien que dur fut le sort
Les remords viennent au tueur

Ce matin l'heure est grave
L'Homme déprave la Terre mère
Car l'humain n'est plus brave
Car il grave sa colère

La nature inhumaine
De l'Homme peine la nature
La torture de cette reine
Qui n'est sienne tue l'futur




[cette fois-ci, c'est Renan Luce qui m'a inspiré ... mais bon, loin d'avoir son talent, voici mon texte ... court, simple]
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15 mars 2008 6 15 /03 /mars /2008 14:22

Une belle promesse a ses faiblesses
Elle apparait telle une caresse
Qui ne survit qu'dans la détresse
Qui disparait dans la paresse


Fatigué par l'idée de me lever
J'ai préféré aller me recoucher
Encore une nuit passée trop agité
Loin de ma famille et de ma contrée
Un jour, sans prévenir, j'ai du m'enfuir
Courir pour échapper à l'avenir
Tous mes prôches n'ont pas compris que le pire
Etait à venir, était là pour nuire
Depuis, je rôde à l'étranger en paix
Mais mes jours n'sont pas comme je les rêvais
Mon sentiment de nostalgie épais
Je vous le dis, un jour, je reviendrai



Une belle promesse a ses faiblesses
Elle apparait telle une caresse
Qui ne survit qu'dans la détresse
Qui disparait dans la paresse


Eveillé, je me suis remis debout
Moi qui vivait fou avec le dégoût
Le dégoût de tout, de mon pays mou
Ma vie, quelques souv'nirs mis bout à bout
Le passé remplacé par le présent
Que de vagues pensées à mes deux parents
L'avant est ignoré en grandissant
L'après devient beaucoup plus important
Quelques couleurs et odeurs me reviennent
De cette contrée qui était jadis mienne
Mais son action maint'nant me parait vaine
Je ne veux plus jamais connaitre la peine



Une belle promesse a ses faiblesses
Elle apparait telle une caresse
Qui ne survit qu'dans la détresse
Qui disparait dans la paresse



[texte écrit quasiment après avoir lu "L'ignorance" de Milan Kundera portant justement sur la nostalgie ... voilà le résultat d'un bon livre ... il m'inspire :)]
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15 mars 2008 6 15 /03 /mars /2008 13:08

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DCFC0034.JPG
photo prise volontairement en flou ... pour aller avec la "folie" du texte ...
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Il m'énerve à siffler sans arrêts, ça me crève
Il me saoule à se croire un mec bien, un mec cool
Dans mes rêves mes oreilles et ses lèvres ont une trêve
J'ai la trouille que de son esprit des mots découlent
Mélodie mélodieuse est en rien envieuse
A ce son inconnu trop
horrible pour être bon
Symphonie élogieuse devrait être si rieuse
De ce con non déçu par toutes
ses productions

Epuisé par tous ses sifflements incessants
Je m'enfuis dans
mes cris, dans mes bruits, ma folie
Ennuyé par ce qui rend mes
oreilles en sang
Je subis sans agir, sans gémir, la tuerie
Larmes aux yeux, tête en feu donc je fais mes adieux
Aux musiques, aux chants et chanteurs charismatiques
Tiens il pleut, c'est que sa voix a
atteint les cieux
Mes mimiques lui sont devenues humoristiques

A l'abris, je le suis, ici, au paradis
Lui sur Terre génère l'enfer verbale,
sa colère
Son débit d'âneries,
un boulet, fait de lui
Pour le taire, rien à faire, même le mettre sous la mer
Vide de chance, il a du le faire exprès, je pense
Le voilà, griffé, tué, par un tout petit chat
Pas immenses voire très
courts, mon repos, mes vacances
Il me voit, se rapproche et me montre
sa voix

Je fais tout pour ne pas devenir
plus que fou
Mais trop tard, le hasard fait qu'il remeurt ce soir
Je suis saoule,
Dieu le père vient, je lui fous un coup
Je repars, on m'arrête,
Satan me donne l'cafard
Mais tant pis,
j'suis happy d'plus entendre aucun bruit
Mort deux fois, le gars gaga ne revivra pas
Sans soucis, je m'en fiche que le diable me détruit
J'ai la joie d'être en paix, d'être tranquil
pour une fois


[texte où je me suis amusé à lier la folie, la musique, la poésie, des sons semblables se suivant et qui finalement me plait plutôt bien ...]
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7 mars 2008 5 07 /03 /mars /2008 19:22

Dès aujourd'hui je vais mourir
Je m'en vais rejoindre le trépas
Je le sais bien j'aurais dû fuir
Mais ça ne me ressemblait pas
Nous vivons un évènement
Dont on se souviendra demain
Quelques soldats emmènent des gens
Dans les wagons pour bêtes d'un train
On est serré comme pas possible
A peine l'espace pour respirer
Leur haine envers nous est visible
Comme leur bêtise, leur cruauté
On nous décharge comme du bétail
Dont on ne prendrait même pas soin
Dans leur "solution" aucune faille
Car c'est tout à fait inhumain
Là, je vis mes derniers instants
La peur et la colère gagnants
Je quitte la Terre, j'en suis conscient
En la laissant plus mal qu'avant
On nous sépare en deux rangées
Des camions prennent les femmes, enfants
Mais moi ayant la jambe cassée
Je suis avec en bon fainéant
On nous transporte dans un lieu prôche
Tout le monde est déshabillé
La salle où l'on se trouve est moche
Mais ils vont quand même nous laver
Ils ne connaissent pas la pudeur
Ils s'occupent tout de même de nous
Les allemands crient, les enfants pleures
Ce qui se passe ici est fou
Je me demande : nous tueront-ils ?
La douche commence, le Zyklon B
Un peu plus tard nos corps s'empilent
Pour finalement être brûlés

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29 février 2008 5 29 /02 /février /2008 14:24

Je hais ce que tu es
Tu suis ce que je suis
Je fuis ce que tu dis
Tu aimes ce que je sais
Tu es là, j'en suis las
Je m'endors, tu me colles
Tu as tort, tu es folle
De moi mais pourquoi ça ?


Il est fou de ton corps
Tu l'ignores, lui il t'aime
Il t'écrit des poèmes
Tu t'en fous qu'il t'adore
Il n'a d'yeux que pour toi
Dans ses rêves t'es sa reine
Tu l'évites ça le peine
Tu t'éloignes de ses pas


Elle ne vit que pour lui
Lui perdu dans ses songes
Ne la voit, ça la ronge
Car son amour reluit
Il n'entend pas sa voix
La chaleur de son corps
Est un leurre qui la mord
Mais elle poursuit sa voie


Je l'aime quand elle sourit
La prunelle de ses yeux
Est si belle et si bleue
Qu'elle reste dans mon esprit
Elle ne sait pas qui je suis
Je souffre suffisamment
Elle veut un autre amant
Elle me rejette sans bruits


L'amour est un trésor
Prenant sa source au coeur
Quand l'un de nous quatre pleure
Les autres en souffrent encore
Moi j'aime elle, elle aime lui
Lui il t'aime, toi c'est moi
L'amour n'a pas de loi
Et on l'a tous subi



[je me souviens d'un mini texte anglais qui avait le même sujet, un homme aimant une femme qui aimait un homme qui lui aimait une autre femme qui aimait le premier homme ... en bref, personne n'était heureux ... j'y ai donc pensé en écrivant sans avoir de but au début ... voilà le résultat :D]
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27 février 2008 3 27 /02 /février /2008 19:05


moi0002.JPG

J'étais petit, le regard enfantin,
Je pouvais m'amuser avec un rien.
Bruyant et joyeux, comme tous les bambins,
Je n'avais pas du tout peur de demain.
Les vacances arrivant, j'étais content.
J'avais déjà préparé quelques plans.
J'allais même pouvoir voir mes grand-parents.
C'était passer son temps en profitant.
Le jour arrivé, enfin, excité,
J'étais pressé de voir les heures passer.
Que vienne la soirée pour être libéré,
J'allais pouvoir regarder la télé.
Changement de régime, de quotidien,
J'allais voir mon père travailler, trop bien,
Avec ma mère j'allais faire du dessin.
Que j'attendais que vienne le lendemain !!!*


Les vacances ... on les attend
Du bonheur en concentré
Une chance ... qu'elles viennent souvent
Des souvenirs fabriqués

Je me souviens quand venaient des copains
Dormir chez moi, batailles de traversins.
Pour s'occuper, nous n'avions aucun frein.
En campagne, des cachettes, il yen a plein.
Le temps passait super rapidement
Mais on ne trouvait pas ça inquiétant
Car on ne savait pas lire l'heure des grands,
Car on n'avait aucun rôle là-dedans.
On y était donc on en profitait
Comme quelqu'un qui, ses derniers jours, vivait.
On espérait que du temps il restait
Car notre vie en vacances, qu'est'c'qu'on l'aimait !!!*
Puis vint les derniers jours, les dernières heures.
De nous deux, mon frère et moi, aucun pleur
Mais plutôt sur notre visage le bonheur.
On disait "d'trop bonnes vacances" de bon coeur.


Les vacances ... on les attend
Du bonheur en concentré
Une chance ... qu'elles viennent souvent
Des souvenirs fabriqués

Mon regard a présent s'est transformé
Et ma vie tout comme la réalité.
Mes vacances ne sont plus tranquillité
Ou alors ça aussi ça a changé.
Comme avant les vacances on les attend,
Comme avant on attend que passe le temps,
Mais elles glissent de nos doigts une fois dedans,
Et on les voit qui se barrent en courant.
L'heure on sait la lire mais elle nous déçoit,
D'atteindre tous nos buts on y arrive pas.
Le bac s'approche alors on revoit.
Nos amis s'éloignent alors on les voit.
Arrivé à la fin de mes vacances,
La joie, de me squatter, n'a aucune chance.
Bien que le repos ne fut pas immense,
Je ne veux pas reprendre les cours je pense.


Les vacances ... on les attend
Du bonheur en concentré
Une chance ... qu'elles viennent souvent
Des souvenirs fabriqués.


[
texte non pas nostalgique mais qui permet de me souvenir du passé, sans pour autant vouloir y retourner ... quoi qu'il en soit, les vacances étaient pour moi comme ça et sont pour moi comme ça (ça étant celles d'avant et celles de maintenant voire d'après) ... comme d'hab', je m'emballe dans mes propos donc ... ben j'espère que ce texte vous a plu malgré tout]
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