31 mai 2008
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13:30
Encore un texte, désolé, j'en ai fait beaucoup sans les mettre sur mon blog donc ceci explique cela ... je vais quand même essayer de faire des articles d'autres choses si j'ai des idées ... Ce texte est sur les disputes, entamé ce matin. Bonne lecture, je m'y retrouve un peu dans ce texte, mais un peu car là encore, j'essaie d'étoffer mon vécu avec des inventions.
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Relations conflictuelles,
Tous les jours c'est pareil.
Guerres de mots se succèdent
Tant que personne ne cède.
Qui sera le plus fort ?
Lequel de nous a tort ?
Aucune idée, tant pis,
Puis quand vient le dépit
S'enflamment et s'enveniment
Les propos, incriminent
L'un et l'autre tant qu'on peut
Ne pas baisser les yeux.
Des reproches, anicroches,
En réserve dans nos poches
S'envolent en plein visage
De "l'adversaire", carnage !
Un mot de trop suffit,
Un regard, un non-dit,
A relancer l'attaque,
Frapper sans aucune claque.
De phrases en phrases, emphase,
Quand soudain tout s'embrase.
Un peu d'huile sur le feu
Sinon c'est ennuyeux.
Pour jauger son niveau
Dans la pratique des mots,
Autant bien s'entrainer
Quand on est nez à nez.
Ca peut faire mal alors
Bien souvent on déplore
Les chagrins et les pleurs
Dont on est fondateur.
Toujours les mêmes excuses,
Pour un rien tu m'accuses.
C'est toujours mieux ailleurs
Quand ça fait ton bonheur.
Quand je fais la même chose,
C'est facile, tu exploses
Sans aucune précision,
En bref, n'ai-je pas raison ?
Qu'il est dur de l'avouer,
Qu'il est dur de signer
Le traité de défaite
D'un seul signe de la tête.
Alors on continue
A trouver des issues
Pour que l'autre soit coupable,
Pour qu'il soit incapable
De poursuivre le combat
Qui ne finira pas.
Tous les jours c'est pareil.
Guerres de mots se succèdent
Tant que personne ne cède.
Qui sera le plus fort ?
Lequel de nous a tort ?
Aucune idée, tant pis,
Puis quand vient le dépit
S'enflamment et s'enveniment
Les propos, incriminent
L'un et l'autre tant qu'on peut
Ne pas baisser les yeux.
Des reproches, anicroches,
En réserve dans nos poches
S'envolent en plein visage
De "l'adversaire", carnage !
Un mot de trop suffit,
Un regard, un non-dit,
A relancer l'attaque,
Frapper sans aucune claque.
De phrases en phrases, emphase,
Quand soudain tout s'embrase.
Un peu d'huile sur le feu
Sinon c'est ennuyeux.
Pour jauger son niveau
Dans la pratique des mots,
Autant bien s'entrainer
Quand on est nez à nez.
Ca peut faire mal alors
Bien souvent on déplore
Les chagrins et les pleurs
Dont on est fondateur.
Toujours les mêmes excuses,
Pour un rien tu m'accuses.
C'est toujours mieux ailleurs
Quand ça fait ton bonheur.
Quand je fais la même chose,
C'est facile, tu exploses
Sans aucune précision,
En bref, n'ai-je pas raison ?
Qu'il est dur de l'avouer,
Qu'il est dur de signer
Le traité de défaite
D'un seul signe de la tête.
Alors on continue
A trouver des issues
Pour que l'autre soit coupable,
Pour qu'il soit incapable
De poursuivre le combat
Qui ne finira pas.